Lieu
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Je publie ici quelques photos que je fais à l’occasion de mes « errances photographiques », principalement de la « photo de rue » à Paris, en noir et blanc.
Acteur
Je m’appelle
Mes sources d’inspiration sont à rechercher dans le courant de la « photographie humaniste », représenté par les très illustres Henri Cartier-Bresson, Robert Doisneau et Willy Ronis. Bien sûr le résultat est très loin du niveau ! ;)
Règles du jeu
Je me fais un devoir de ne jamais retoucher ni truquer mes photos. Par retouche, j’entends effacer, ajouter ou déformer un élément. Par trucage, j’entends l’utilisation de complices ou de situations scénarisées. Les seules opération que je m’autorise au développement sont donc équilibrage de l’exposition et des contrastes, conversion en noir et blanc et éventuellement correction de l’horizon et recadrage. Tous les éléments présents ou absents des clichés le sont donc à la prise de vue. On m’a une fois fait remarquer que j’aurais pu enlever en post-production une poubelle qui traine, ou un fil électrique. La réponse est non : cela va à l’encontre de ce qui je crois être la photographie.
Photoblogs
Voici quelques photoblogs que je suis assidument et à ne pas manquer. Je les classe par ordre alphabétique pour ne froisser personne ;)
- 200 ISO de Wilfried Morange
- Au gré du vent de Frédéric Mourot
- Les dépendances harmoniques de Frédéric Netter
- Invisible Cities de Jérôme Arfouche
- Les particules étranges de Jean-François Abbate
Matériel
J’utilise principalement mon fidèle Canon EOS 5D, couplé à un Voigtländer 40mm f/2.0 Ultron SL, objectif « pancake » idéal pour sa discrétion, et à un Canon 100mm f/2.0. J’ai bien aussi 2 zooms, mais ils passent le plus clair de leur temps dans leur boîte de rangement, du fait de leur faible ouverture ainsi que de leur taille imposante et de leur poids...
Ça c’était avant ! Le poids important du Reflex a finalement eu raison de moi. J’ai investi dans un discret et léger Fuji X100s qu’il est beaucoup plus aisé d’emmener partout. On retrouve donc une focale voisine du Voigtländer, pour la moitié du poids, et une qualité d’image excellente. Le viseur optique plus large que le cadre « à la télémétrique » est aussi un indéniable atout.
Concernant la post-production, je travaille sous AfterShotPro (anciennement Bibble Pro), un des rares à fonctionner sous linux, qui me propose tout ce dont j’ai besoin selon une approche beaucoup plus photographique et moins technico-infographique que la concurrence, ainsi qu’un superbe module de conversion en noir et blanc travaillant à partir de simulation des émulsions et papiers argentiques.
Ça aussi c’était avant ! À force d’une politique de mise à jour catastrophique, de fonctionnalités qui disparaissent (fini mon module de conversion N/B favori !), d’une qualité d’image qui stagne, et du non support du X100s, j’ai basculé pour les nouveaux tirages sur RawTherapee. Un logiciel libre, qui supporte le X100s, et qui offre une qualité de dématriçage et de traitement époustouflante. Mon seul regrêt est une approche un peu trop « scientifique » des réglages.